Service des visas et des documents : Lundi, mercredi et vendredi de 10h à 12h.

Adresse : Square Marie Louise 46, 1000 Bruxelles Accès : Métro : Maelbeek

S.E. Evariste Ndayishimiye

S.E. AMBASSADEUR ALBERT SHINGIRO

Ministre des Affaires étrangères et de
la Coopération au Développement

THERENCE NTAHIRAJA

Ambassadeur Extraordinaire et Plénipotentiaire

L’Ambassade de la République du Burundi auprès du Royaume de Belgique, le Grand-duché de Luxembourg et l’Union Européenne a l’insigne honneur d’inviter les Burundais et les amis du Burundi à la cérémonie de commémoration du 24ème anniversaire de l’assassinat de Son Excellence Monsieur le Président Melchior NDADAYE, Héros de la démocratie.

Date : 21 octobre 2017 à 15 heures 00
Lieu
 : Messe à l’Église Saint-Josse
Chaussée de Louvain 99
1210 Saint-Josse-ten-Noode

 

Comme à chaque 13 octobre, les Burundais de Belgique et leurs amis ont répondu au rendez-vous national de commémoration du 56ème anniversaire de l’assassinat du Héros de l’indépendance, S.A.R. le Prince Louis RWAGASORE.

 

Une vue de l’autel de l’Eglise Saint-Joss-ten-Noode

La messe commémorative a rassemblée en plus de 70 personnes dont le 1er Vice-Président du Sénat du Burundi (en mission à Bruxelles), Honorable Spès Caritas NJEBARIKANUYE qui venait de participer aux travaux de l’Assemblée parlementaire ACP/UE, tout le personnel de l’Ambassade du Burundi à Bruxelles, la famille du Héros de l’indépendance, le Consul honoraire du Burundi en Wallonie, Mr René Léon de Wilde, des familles burundaises et leurs amis.

 

Appels à la vérité, à la paix, à la tolérance, au refus de la vengeance et à l’unité

 

Au cours de la célébration eucharistique, il fut rappelé à chacun, à travers les lectures (Livre de la Sagesse (3, 1-6) ; Evangile selon Saint Jean, 8, 31-42) ; l’homélie et les prières universelles ; des messages très interpellant par leur

L'Ambassade de la République du BURUNDI à Bruxelles a l'honneur d’informer le public que ses bureaux seront fermés ce vendredi 13/10/2017, à l'occasion de la Commémoration du 56ème anniversaire de l’assassinat du Héros de l’indépendance, SAR le Prince Louis RWAGASORE.

Le travail reprendra normalement le lundi 16/10/2017 à 9H.



                        Fait à Bruxelles, le 11 octobre 2017.

INVITATION A LA COMMEMORATION A BRUXELLES LE 13 OCTOBRE 2017 DU 56ème ANNIVERSAIRE DE L’ASSASSINAT DU HEROS DE L’INDEPENDANCE S.A.R. LE PRINCE LOUIS RWAGASORE

 

L’Ambassade de la République du Burundi auprès du Royaume de Belgique, le Grand-duché du Luxembourg et l’Union Européenne a l’insigne honneur d’inviter les Burundais et les amis du Burundi à la cérémonie de commémoration du 56ème anniversaire de l’assassinat du Héros de l’indépendance, Son Altesse Royale le Prince Louis Rwagasore.

Date : 13 octobre 2017 à 18 heures

Lieu : Messe à l’Église Saint-Josse
                            Chaussée de Louvain 99
                            1210 Saint-Josse-ten-Noode

                  Accès :

               Train : Gare Schuman

               Metro : Madou, Malbeek

               Bus : Lignes 29,63, 59 ; Arrêt: Place Saint Josse

 

Contact Ambassade : téléphone : 022304535

 

L’Ambassade de la République du Burundi auprès du Royaume de Belgique, le Grand-duché du Luxembourg et l’Union Européenne profite de l’occasion pour vous renouveler l’assurance de sa considération très distinguée.

 

 

Fait à Bruxelles, le 25 septembre 2017

REPUBLIQUE DU BURUNDI

 

SECRETARIAT GENERAL DU GOUVERNEMENT

 

POINT DE PRESSE  DU 12 SEPTEMBRE 2017  

 

Le mois d’Août 2017 a été marqué par quelques activités concernant le Burundi sur la scène nationale et internationale qui invitent le Gouvernement à faire quelques commentaires qu’il voudrait partager avec l’opinion.

·        La déclaration du Président du Conseil de Sécurité de l’ONU du 2 août 2017,

·        Le Rapport de la Commission d’Enquête sur le Burundi du 11 août 2017.

·        Les 11èmes jeux  militaires conjoints organisés dans le cadre de l’EAC, du 28 août au 05 septembre 2017,

·        Le rapatriement volontaire des réfugiés en provenance de la Tanzanie dont le 1er convoi est arrivé le 07 septembre 2017.

 

1.- Il ne parait pas opportun de revenir sur la déclaration que le Président du Conseil de Sécurité des Nations Unies a rendue publique le 2 août 2017 et dans laquelle le Conseil exprime toute une série d’éléments de préoccupations et de recommandations en rapport avec l’évolution de la situation politique, sécuritaire et des droits de l’homme au Burundi depuis la crise électorale de 2015 d’autant plus qu’une réaction du Gouvernement a été portée à la connaissance de l’opinion en date du 05 août 2017.

 

2.- Il est cependant nécessaire de rappeler que le  Gouvernement du Burundi constate avec satisfaction que l’ONU évolue positivement dans la lecture qu’elle fait de la situation qui prévaut au Burundi vu que le Conseil de Sécurité "réaffirme son ferme attachement à la souveraineté, à l’Indépendance politique, à l’Intégrité territoriale et à l’Unité du Burundi" en plus que la Déclaration du Président "prend note de la situation généralement calme qui prévaut en matière de sécurité dans le pays", et ce malgré les rapports alarmants produits par certaines organisations et organes de presse qui investissent dans la manipulation de l’opinion. Sur les recommandations que le Conseil de Sécurité formule, le Gouvernement du Burundi  a exprimé ses commentaires et justifié ou expliqué sa position là où cela l’exigeait.

3.- Concernant le Rapport de la Commission d’Enquête sur le Burundi du 11 août 2017, il convient de rappeler que  celle-ci a été créée irrégulièrement par la Résolution 33/24 du Conseil des Droits de l’Homme et adoptée par forcing le 30 septembre 2016, malgré le désaccord total avec le Gouvernement du Burundi   dont la version des faits n’avait pas été tenue en considération avant son adoption. Une véritable course contre la montre qui couvrait à peine un agenda caché.

Cette commission était supposée chargée de mener une enquête approfondie sur les violations et les atteintes aux droits de l’homme commises depuis avril 2015 au Burundi, de déterminer si certaines d’entre elles constituent des crimes de droit international et d’identifier les auteurs présumés de ces actes. Le Gouvernement regrette que ces enquêtes approfondies n’aient jamais eu lieu, la Commission ayant produit un rapport tendancieux, déséquilibré et politiquement orienté.

4.- De façon générale et synthétique, le rapport charge les institutions burundaises particulièrement celles ciblées depuis longtemps comme responsables de l’échec de toutes les tentatives de déstabilisation de la sécurité et de changement du pouvoir par la force,