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S.E. Evariste Ndayishimiye

S.E. AMBASSADEUR ALBERT SHINGIRO

Ministre des Affaires étrangères et de
la Coopération au Développement

THERENCE NTAHIRAJA

Ambassadeur Extraordinaire et Plénipotentiaire

REPUBLIQUE DU BURUNDI

 

 

SECRETARIAT GENERAL DU GOUVERNEMENT

 

COMMUNIQUE DU GOUVERNEMENT

 

1.     La Fédération Internationale des Droits de l’Homme (FIDH) en collaboration avec la Ligue Burundaise des Droit de l’Homme ITEKA sous la plume de son Président actuellement en exil au Rwanda, viennent de sortir un rapport insultant pour le Burundi qu’ils ont intitulé «Burundi, Répression aux dynamiques génocidaires ».

 

2.     Le titre lui-même est révélateur de l’état d’esprit de ces organisations qui se disent de Défense des Droits Humains mais qui, en réalité ne se sont jamais distancées des autres organisations politiques qui se sont données pour mission de déstabiliser et détruire  le Burundi. Ce rapport est donc une tentative supplémentaire de déstabilisation contre les Institutions démocratiquement élues de la République du Burundi en voulant faire endosser un génocide imaginaire au peuple burundais et à ses dirigeants, une véritable insulte pour le peuple burundais qui s’est librement doté de ces institutions.

 

3.     De manière générale, ce rapport n’est qu’une compilation d’autres rapports biaisés déjà produits sur le Burundi et que le Gouvernement a dénoncés à maintes reprises, car fondés sur des allégations inventées. 

Durant le travail de recherche effectué sur le Burundi, le rapport reconnaît qu’une mission a été déployée du 14 au 24 mars 2016 au Burundi et en Ouganda. Il y a lieu de se demander si dix jours peuvent suffire pour prétendre avoir enquêté sur 24 mois. Il devient dès lors fondé de croire que ce rapport ne fait que s’approprier d’autres rapports publiés avant lui et comme ces derniers ne s’appuie que sur des témoignages anonymes.

 

4.      Le rapport a un seul objectif : celui de DIVISER sur des bases ethniques, le peuple burundais et ses Institutions de sécurité composées sur base de la Constitution et des autres accords conclus entre Burundais, notamment l’Accord d’Arusha et les Accords de Cessez-le-feu, en présentant l’ethnie Tutsi comme une espèce en danger de disparition au Burundi. Ce rapport brandit le spectre de génocide pour distraire l’opinion internationale dans le but de cacher les véritables intentions de ses commanditaires qui ne sont   autre que la réussite du renversement des institutions et la mise en place d’un pouvoir fantoche au service d’intérêts autres que ceux du peuple burundais.

 

5.     Le rapport en soit contient beaucoup de montages et de contradictions. Il est en effet étonnant, que la FIDH qui affirme avoir fait un travail de recherche au Burundi pendant 24 mois  ne mentionne nulle part les attaques armées contre le Burundi à Cibitoke du 31 décembre 2014 au 02 janvier 2015 et celle de Kayanza du 10-11 juillet 2015, et non plus les nombreuses atrocités commises par les insurgés lors des manifestations violentes, y compris les forfaits revendiqués publiquement à travers les médias internationaux par leurs auteurs notamment le cas d’un des chefs putschistes le général Léonard NGENDAKUMANA qui a assumé les attentats à la grenade sur les places publiques dont le marché aux légumes où plusieurs

REPUBLIQUE DU BURUNDI

 

 

SECRETARIAT GENERAL DU GOUVERNEMENT

 

COMMUNIQUE DU GOUVERNEMENT

 

 

1.     Le Gouvernement du Burundi se félicite de la position prise par de l’Union Africaine ce vendredi le 11 novembre 2016, à travers la 21ème Réunion du Comité de Coordination des Opérations Militaires des pays contributeurs des troupes à l’AMISOM, réunion présidée par le Commissaire pour la Paix et la Sécurité de l’Union Africaine, de rejeter l’initiative de l’Union Européenne de vouloir payer le salaire des militaires burundais engagés dans la mission de maintien de la paix en Somalie sans passer par les Institutions burundaises. Cette position s’aligne par ailleurs sur celle déjà exprimée par le Gouvernement du Burundi sur la question.

Le 23ème anniversaire de l’assassinat du Héros de la démocratie, S.E. le Président Melchior Ndadaye est commémoré à Bruxelles.

C’est en communion avec les millions d’autres Burundais du pays et d’ailleurs que les Burundais de Belgique et les amis du Burundi ont commémoré à Bruxelles dans la soirée du 21 octobre 2016, le 23ème anniversaire de l’assassinat du Héros de la démocratie, S.E. le Président Melchior NDADAYE, premier Président du Burundi élu démocratiquement.

La commémoration a débuté par une messe chantée, concélébrée par 5 prêtres burundais et qui a rassemblée environ 90 personnes dans l’Eglise de Saint-Josse-ten-Noode.

Dans l’assemblée, on pouvait remarquer en plus des membres des familles Ndadaye, Rwagasore et Ntaryamira,  l’Ambassadeur du Burundi en Belgique, S.E. Mr Jérémie BANIGWANINZIGO et les diplomates burundais en Belgique et leurs familles; le Directeur de la Recherche à l’Université du Burundi ; le Directeur administratif et financier du Sénat du Burundi ; des responsables de la Croix Rouge du Burundi en mission en Europe ; ainsi qu’une famille burundaise résidant en Suisse qui était de passage à Bruxelles . Toute la diversité burundaise y était bien

 

A l’instar des autres Burundais au pays, les Burundais et amis du Burundais en Belgique ont commémoré ce jeudi 13 octobre 2016, le 55ème anniversaire de l’assassinat du Héros de l’indépendance, S.A.R. le Prince Louis RWAGASORE.

Une vue de l’autel de l’Eglise Saint-Josse-ten-Noode

La messe commémorative chantée et concélébrée par trois prêtres burundais a eu lieu dans l’Eglise Saint-Josse-ten-Noode à Bruxelles.

En plus des membres de la famille du Prince, plusieurs hautes personnalités belges et burundaises ont marqué l’événement de leur présence, ainsi que d’autres Burundais et amis du Burundi. Quatre-vingt personnes environ ont assisté à cette messe.

Parmi ces hautes personnalités, il y avait