Géographie
INFORMATIONS GENERALES
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Le Burundi
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une république indépendante, souveraine, laïque, démocratique unitaire et multipartite
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capitale
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Bujumbura
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Hymne nationale
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Burundi Bwacu https://www.youtube.com/watch?v=mXvRlqCV_yw
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Drapeau national
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Le drapeau est composé de trois couleurs symboliques: le blanc pour la paix, le rouge pour l’amour de la patrie et le vert pour l’espoir
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Langues parlées
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Kirundi (langue nationale), Français, Anglais et Kiswahili.
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Localisation régionale
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Situé en Afrique centrale-est, le Burundi est frontalier avec le Rwanda au NORD, la RDC à l’Ouest et avec la Tanzanie au Sud-est
Le Burundi est un pays charnière entre l’Afrique Francophone et l’Afrique Anglophone et à cheval entre l’Afrique centrale et l’Afrique orientale.
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Superficie
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27.834 km²
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Populations en 2014
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À peu près 10,4 millions
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Forme du gouvernement
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Le Chef d’Etat et du haut commandement, 21 ministres, deux vice-présidents, deux chambres (chambre basse et chambre haute)
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Devise
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Unité, travail, progrès
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Communes, provinces, collines
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17 provinces, 129 communes, 2.638 collines
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Produits agricoles
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L'agriculture du Burundi comprend les cultures vivrières (principalement dominées par la banane, les plantes à tubercules, les légumineuses et céréales), les cultures de rente (le caféier, le théier, le coton, le palmier à huile, la canne à sucre et le tabac), les cultures maraîchères(les choux, les aubergines, les oignons, tomates, amarantes, pourrons, poivrons, céleri, etc.) et fruitières (les avocatiers, les manguiers, les papayers et les citronniers, goyaviers, ananas, passions) les cultures fourragères(haricots, mais, pommes de terres, corcase, patates douces, etc.
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Elevage
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Bovins, ovins, caprins et volailles
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Hydrographie et saisons
Le Burundi est sillonné par un grand nombre de cours d’eau. Sa configuration topographique réparti ces cours d’eau en deux bassin, à savoir le bassin du Nil et celui du Congo.
Le bassin du Congo se subdivise en deux sous-bassins, à savoir le Bassin de l’ouest, drainé par la Rusizi et ses affluents et le Bassin du Sud-Est drainé par la rivière malagarazi et ses affluents. Le Burundi.
Le Bassin du Nil est alimenté par une partie des eaux du Burundi. Le Burundi possède le lac Tanganyika qui a une superficie de 32.000 km² avec 1.470m de profondeur.
Le Burundi connait quatre saisons tout au long de l’année
La petite saison des pluies : mi-septembre à décembre
La petite saison sèche : mi-décembre à mi-février
La grande saison des pluies : mi-février à mai
La grande saison sèche : 3 à 6 mois selon les régions du Burundi (juin à septembre
Economie du Burundi
L’économie du Burundi est principalement rurale et est basée sur l’agriculture et l’élevage. La production agricole se répartit entre les produits destinés à l’exportation notamment le café, le thé, le coton et les produits de la culture vivrière dont les fruits le sucre, huile de palme, huile de tourne sol, huile de soja, huile d’arachide, huile d’avocat, etc
Echanges commerciaux:
Le Burundi est un pays enclavé, qui pour exporter ou importer doit emprunter les voies des pays de transit ou les pays qui ont l’accès à la mer
-Le corridor Nord (Bujumbura-Rwanda-Ouganda-Kenya)
-Le corridor Centre (Bujumbura-Kobero-Dodoma-Dar-Es-Salaam)
-Le corridor Est (Bujumbura-Kigoma-Tabora-Dar-Es-Salaam)
Le corridor sud (Bujumbura-Mpulungu-Mozambique-Durban)
-Le corridor Ouest (Bujumbura-Kasai-Matadi-Océan Atlantique)
Les partenaires commerciaux du Burundi sont l’Union Européenne, la Chine, le Japon, le Proche Orient, l’Afrique et le Moyen-Orient
Opportunités d’investissements
Le Burundi a un immense potentiel pour l’investissement dans divers secteurs.
-Possibilités de développer une industrie agro-alimentaire rentable suite aux raisons suivantes :
Bonne pluviométrie ;
Population laborieuse
Un sol fertile
-Opportunités de transformation sur place des produits agricoles
-Possibilités de transformer l’élevage traditionnel en un élevage intensif par la promotion de la stabulation semi-permanente ou permanente
-Le Burundi regorge d’innombrables gisements de minerais et de métaux précieux
Les gisements de nickel déjà recensés figurent parmi les plus importantes réserves du monde. Ces gisements du nickel sont associés à des dépôts substantiels de cuivre, de colbate et de platine
-Le Burundi possède d’autres gisements comme l’uranium,, or, pétrole, vanadium, tourbe, plomb, phosphate, etc.
-Le Burundi est situé au centre des grands marchés régionaux, à savoir le Marché Commun de l’Afrique Orientale et Australe (COMESA), la Communauté Est Africaine (EAC) et la Communauté Economique des Etas d’Afrique Centrale (CEAC).Ce positionnement peut faire de ce pays un grand centre de production et d’exportation vers ces marchés déjà libéralisés
Coopération régionale
- Autorité du lac Tanganyika
L'autorité du Lac Tanganyika (ALT) établit un cadre convenu entre les 4 pays riverains qui sont le Burundi, le Congo, la Tanzanie et la Zambie pour la mise en œuvre des interventions communes par ordre de priorité. Ces dernières sont destinées à promouvoir la conservation de la biodiversité et l’utilisation durable du lac et des ressources naturelles et à gérer les activités prenant place dans le bassin d’influence avec des impacts négatifs sur cette ressource. Les actions de l’ALT sont financièrement soutenues par les contributions des Etats membres et des partenaires au développement comme le PNUD, le FEM, la FAO, l’UICN et la BAD.
Principales menaces et domaines d’actions pour la biodiversité
Principales menaces à la biodiversité et à l’utilisation durable
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Domaines généraux d’action
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Systèmes de pêche non durables
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Réduction de l’impact des pêches
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Pollution croissante
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Lutte contre la pollution
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Sédimentation excessive
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Lutte contre la sédimentation
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Destruction des habitats
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Conservation des habitats
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Espèces envahissantes
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Lutte contre les espèces envahissantes
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Changement climatique
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Adaptation au changement climatique et atténuation des effets
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- CEPGL
La Communauté Economique des Pays des Grands-Lacs (CEPGL) est une organisation sous régionale à vocation économique créée le 20 Septembre en 1976, regroupant la République du Burundi, la République Démocratique du Congo et la République du Rwanda (ancienne Afrique belge). Elle a son siège à Gisenyi, en République du Rwanda. A sa création, la CEPGL visait les objectifs suivants:
- Assurer avant tout et d’abord la sécurité des Etats membres et de leurs populations de sorte qu’aucun élément ne vienne troubler l’ordre et la tranquillité sur leurs frontières respectives;
- Concevoir, définir et favoriser la création et le développement d’activités d’intérêts communs;
- Promouvoir et intensifier les échanges commerciaux et la circulation des personnes et des biens;
- Coopérer de façon étroite dans les domaines social, scientifique, culturel, politique, militaire, financier, technique et touristique et plus spécialement en matière judiciaire, sanitaire, énergétique, de transport et de communication.
- Common Market for Eastern and Southern Africa (COMESA)
Le Common Market for Eastern and Southern Africa (COMESA) regroupe 19 pays membres qui sont le Burundi, les îles Comores, la République Démocratique du Congo, la Djibouti, l'Egypte, l'Erythrée, l'Ethiopie, le Kenya, la Lybie, les îles Seychelles, la Swaziland, le Madagascar, le Malawi, les îles Maurice, le Rwanda, le Soudan, l'Ouganda, la Zambie et le Zimbabwe. La COMESA a pour mission d’assurer un développement économique et social durable dans les pays membres grâce à une coopération et intégration dans les domaines du commerce, des douanes, des affaires financières, du transport, de la communication et de l’information, de la technologie et de l’industrie, de l’énergie, de l’agriculture, de l’environnement et des ressources naturelles. Dans le cadre de l’intégration de l’espace économique, un programme de développement des investissements a été initié et des stratégies dans les domaines de l’environnement, l’agriculture et le changement climatique ont été développées. Celles-ci s’intègrent dans le cadre plus large du New Partnership for Africa’s Development (NEPAD) de l’Union Africaine (UA).
- Commission des Forêts d'Afrique Centrale (COMIFAC)
La Commission des Forêts d'Afrique Centrale regroupe dix pays qui sont le Burundi, le Cameroun, le Congo, le Gabon, la Guinée Equatoriale, la République Centrafricaine, la République Démocratique du Congo, le Rwanda, le Sao Tomé et Principe et le Tchad. Elle s'occupe des forêts denses et humides de l'Afrique Centrale (près de 227 millions d'hectares) qui représentent l'un des trois principaux ensembles boisés tropicaux de la planète. Suivant le Traité Constitutif, la COMIFAC est définie comme instance d’orientation, d'harmonisation, de suivi et de coordination des actions et initiatives sous-régionales en matière de conservation et de gestion durable des écosystèmes forestiers. Elle veille à la mise en application des conventions internationales et des initiatives de développement forestier en Afrique Centrale. C'est ainsi qu'elle a élaboré et adopté en février 2005 un Plan de Convergence, cadre de référence pour une meilleure gestion et conservation des forêts d'Afrique Centrale.
- Communauté Economique des Etats de l'Afrique Centrale (CEEAC)
La Communauté Economique des Etats de l'Afrique Centrale regroupe 10 Etats Membres qui sont le Burundi, l'Angola, le Cameroun, la Centrafrique, la République Démocratique du Congo, le Gabon, la Guinée Equatoriale, le Sao Tomé et Principe et le Tchad. Dans le cadre de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique Centrale (CEEAC), deux instruments politiques ont été mis en place, à savoir:
- le plan de convergence de la COMIFAC orienté vers la gestion durable des forêts du bassin du Congo et;
- la politique générale de la CEEAC en matière de l’environnement et de gestion des ressources naturelles. Un troisième instrument est en cours de mise en place. Il s’agit du Fonds pour l’Economie Verte en Afrique Centrale (FEVAC).
- East Africa Community (EAC)
Le Burundi a adhéré à la Communauté de l'Afrique de l’Est (EAC) en 2007, devenant le cinquième pays au côté du Kenya, de la Tanzanie, de l'Ouganda et du Rwanda. L’EAC met l'accent sur la protection de l’environnement et des ressources naturelles. La coopération dans la gestion des ressources environnementales est prévue en vertu du chapitre 19 (articles 111, 112 et 114) du Traité de l’EAC. Les Etats membres se sont convenus de prendre des mesures concertées pour promouvoir la coopération dans l'utilisation conjointe et une gestion efficace et durable des ressources naturelles. Des dispositions juridiques et institutionnelles ont également été mises en place pour relever les nombreux défis du développement durable dans la région dont le Protocole sur l'environnement et gestion des ressources naturelles. Le protocole de l’EAC sur l'environnement et gestion des ressources naturelles de 2006 est l'instrument fondamental qui régit l'utilisation rationnelle et la conservation de l'environnement et des ressources naturelles dans la Communauté. Grâce à ce protocole, l’EAC cherche à combattre la désertification et la sécheresse, le changement climatique, la protection de la couche d'ozone, la biosécurité et la biotechnologie, la gestion des déchets chimiques et dangereux, la pollution, la mise en œuvre des normes environnementales, l'évaluation de l'impact et des audits, le renforcement de l'éducation environnementale et le renforcement des capacités, la participation du public, l'accès à l'information, ainsi que la préparation aux catastrophes et la gestion de l'environnement.
- Initiative du Bassin du Nil (IBN)
L'Initiative du Bassin du Nil (IBN) a été créée en 1999. Le premier accord sur le partage des eaux du Nil date de 1929. Il était signé entre l'Égypte et la Grande-Bretagne, qui contrôle alors le Soudan, l'Érythrée, l'Ouganda, le Kenya, la Tanzanie. Ce pacte accordait à l'Égypte un droit de veto sur toute construction en amont susceptible de réduire le débit de l'eau. En 1959, un nouvel accord a été signé entre l'Égypte et le Soudan. Cet accord donnait à l'Égypte le droit de construire le barrage d'Assouan et ces deux accords sont toujours en vigueur aujourd'hui.
Aujourd'hui indépendants, leurs populations augmentant, ces États réclament à leur tour leur part des eaux du Nil. C'est en 2011 que le Burundi et le Kenya ont adhéré à l'IBN. L'Initiative du Bassin du Nil est une initiative régionale autour d'une vision commune concernée par 9 pays à savoir Burundi, République Démocratique du Congo, Egypte, Ethiopie, Kenya, Rwanda, Soudan, Tanzanie, Ouganda. Une vision commune entre les Etats riverains a été adoptée en 2000 avec comme objectif: «Atteindre un développement socio-économique durable à travers une utilisation équitable et au bénéfice de tous des ressources communes des eaux du bassin du Nil ». Les Projets de la Vision Commune (PVC) sont constitués d’activités visant à promouvoir la confiance et la coopération et à créer un environnement qui facilite l’investissement. Les PVC comprennent huit projets :
- Projet de Formation Appliquée,
- Projet de développement de confiance et d’Implication des Parties Prenantes
- Projet du Commerce Régional d’Energie
- Projet de Coordination de la Vision Commune
- Projet du Partage des Bénéfices Socio-économiques
- Projet de l’Action Environnementale Transfrontalière
- Projet de l’Utilisation Efficace de l’Eau pour la Production Agricole
- Projet de la Gestion des Ressources en Eau
- Nouveau Partenariat pour le Développement de l'Afrique (NEPAD)
Le Nouveau Partenariat pour le Développement de l'Afrique, une cadre stratégique de l'Union Africaine pour le développement socio-économique du continent, est à la fois une vision et un cadre stratégique pour l'Afrique au XXIe siècle. Le NEPAD est radicalement une nouvelle intervention, menée par les dirigeants africains en vue de relever les défis critiques auxquels le continent est confronté: pauvreté, développement et marginalisation du continent au plan international. Le NEPAD offre aux pays africains l’occasion unique de prendre totalement le contrôle de leur programme de développement, de travailler ensemble et étroitement, et de coopérer plus efficacement avec les partenaires internationaux.
Le NEPAD gère un certain nombre de programmes et projets dans six domaines thématiques qui sont:
- Agriculture et Sécurité Alimentaire;
- Changement Climatique et Gestion des Ressources Naturelles;
- Intégration Régionale et Infrastructures;
- Développement Humain;
- Gouvernance Economique et des Entreprises;
- Questions transversales, parmi lesquelles le Genre, le Renforcement des Capacités et les TIC (Technologie d'Information et de Communication).
Pour de plus amples informations
- Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN)
L'Union Internationale pour la Conservation de la Nature est la plus grande et la plus ancienne des organisations globales environnementales au monde. L’UICN a été fondée en octobre 1948 comme l’Union Internationale pour la Protection de la nature (UIPN) après la conférence internationale de Fontainebleau, France. L’organisation changea de nom à Union Internationale pour la conservation de la nature et des ressources naturelles en 1956 avec son acronyme UICN (ou IUCN en anglais). Elle porte encore légalement ce nom aujourd’hui. L’usage du nom “World Conservation Union” est apparu après 1990, en même temps que celui d’UICN. Depuis le mois de mars 2008, ce nom n’est plus couramment utilisé.
L’UICN développe et soutient la science de pointe de la conservation, particulièrement en ce qui concerne les espèces, les écosystèmes, la diversité biologique et leur impact sur les moyens de subsistance des êtres humains. L’UICN conduit des milliers de projets sur le terrain partout dans le monde pour mieux gérer les environnements naturels. L’UICN soutient les gouvernements, les ONG, les conventions internationales, les organisations des Nations Unies, les sociétés et les communautés, en vue de développer des lois, des politiques et de meilleures pratiques.
La collaboration entre le Burundi et l'UICN se fait à travers le Programme pour l’Afrique Centrale et Occidentale (PACO) né de la fusion des programmes Afrique Centrale et Afrique de l’Ouest. Ce programme a été créé à l’issue du processus de régionalisation et de décentralisation engagé par le Secrétariat de l’UICN en 2006 et son unité de coordination (le bureau régional) est basée à Ouagadougou au Burkina Faso. La zone d’intervention du PACO s’étend sur 25 pays (Bénin, Burkina, Burundi, Cameroun, Congo, Cap-Vert, Côte d’Ivoire, Gabon, Gambie, Ghana, Guinée, Guinée-Bissau, Guinée Équatoriale, Libéria, Mali, Mauritanie, Niger, Nigeria, République Centrafricaine, République Démocratique du Congo, Sénégal, São Tomé & Principe, Sierra Leone, Togo et Tchad).
- Conférence Internationale sur la Région des Grands Lacs (CIRGL).
La Conférence Internationale sur la Région des Grands Lacs a été organisée suite aux nombreux conflits politiques qui ont marqué la Région des Grands Lacs. La création de la CIRGL résulte de la reconnaissance de la dimension régionale de ces conflits et de la nécessité d’un effort concerté en vue de promouvoir la paix et le développement durable dans la région.
La CIRGL comprend douze Etats membres, qui sont l’Angola, le Burundi, la République Centrafricaine, la République du Congo, la République Démocratique du Congo, le Kenya, l’Ouganda, le Rwanda, la République du Sud Soudan, le Soudan, la Tanzanie et la Zambie
Les programmes principaux de la CIRGL sont :
-Paix et Sécurité
-Démocratie et Bonne Gouvernance
-Développement Economique et Intégration Régionale
-Questions Humanitaires et Sociales
Dans le cadre de son programme sur les questions transversales, la CIRGL aborde les questions liées au genre, à l’environnement, aux droits de l’homme, ainsi qu’au VIH/SIDA. Le processus de la CIRGL est basé sur deux principes, à savoir : l’appropriation du processus par les Etats de la Région des Grands Lacs et le partenariat avec les parties prenantes, en particulier le Groupe des Amis et des Envoyés Spéciaux qui fournissent un soutien financier, diplomatique, technique et politique.
Les Etats et les organisations membres du Groupe des Amis et des Envoyés Spéciaux sont l’Autriche, la Belgique, le Canada, la Chine, le Danemark, l’Union Européenne, la Finlande, la France, le Gabon, l’Allemagne et la Grèce. Les autres membres sont le Saint-Siège, l’Irlande, l’Italie, le Japon, le Koweït, le Luxembourg, les Pays-Bas, le Nigéria, la Norvège, le Portugal, la Russie, l’Afrique du Sud, l’Espagne, la Suède, la Suisse, le Royaume-Uni et les États-Unis d’Amérique. Le groupe est co-présidé par le Canada et les Pays-Bas.
Gastronomie Burundaise
Eléments de dégustation : cacahouètes grillées, non salée, des samboussas de pomme de terre ou de viande/œufs (samosas en générale)
Les éléments de Cuisine : les haricots (ibiharage) et la banane verte (quelque fois mélangée des spaghettis) ou les pommes de terre, le riz, l’isombe (feuille de manioc pilées, les amarantes (irengalenga) à cuisiner comme les épinards assaisonnés avec les tomates, les oignons rouges, farine d’arachide et autres condiments. La viande de bœuf de chèvre, lapin ou poulet bouillit à l’eau et assaisonner par les tomates ou sauces tomates, avant tout frisés dans l’huile de cuisson. Ces viandes bouillies sont généralement accompagnées par la patte de manioc.
Ces viandes peuvent être servi en brochettes accompagnés de la banne grillée, ou akabamo /ubuswage arrosé de la bonne bière de Primus, amstel bock ou la bière local-vin de banane (urwarwa) ou bière de sorgho, sodas, fruitos (jus de passion ou d’ananas.
Dans les restaurants de haut standing, on y trouve les plats de viande appelé ragout de chèvre, demi-/quart de poulet au sauce variée et des omelettes variées. Les poissons du lac Tanganyika n’y manquent pas : le Mukeke grillé ou roti, sangala au sauce (poivre noir, champignons-crème, poireaux-crème, etc.)
Pour la cuisson du riz un peu plus élaborée, la communauté surtout musulmane la prépare à base des épices et de viande, ce qu’on appelle Pilau (pilaou)